Vous connaissez sûrement le chrome, cet élément chimique que l’on retrouve généralement sur les voitures et motos et qui fait briller de manière intense certaines parties des ces véhicules. Mais n’allez surtout pas croire que c’est là le seul usage du chrome en tant que revêtement. Car le chromage (revêtement de chrome sur un élément) se compose en deux parties : le chromage décoratif et le chromage dur. Explication plus fournies ci-dessous.
Le chromage décoratif, brillant par nature
La forme de chromage la plus connue du grand public se nomme chromage décoratif. Et vous la connaissez forcément puisqu’on retrouve ce chromage un peu partout dans notre quotidien, des poignées de porte à l’aspect métalliques aux chromes de la moto qui vous a dépassé ce matin sur la route.
Le chromage décoratif porte plutôt bien son nom car il s’agit de déposer un revêtement extrêmement fin (de l’ordre du micron pour tout dire) qui n’aura d’autre but que de donner un aspect poli et brillant à la pièce sur laquelle il est apposé. L’intérêt du chromage décoratif est simple : améliorer le rendu visuel d’un élément.
On trouve donc cette utilisation dans l’industrie automobile et le petit monde du tuning. Même s’il faut avouer que le chrome sur les voitures est passé de mode au profit de plastiques mats, la grande époque de l’auto américaine en faisait un usage constant (peuvent en témoigner les vieilles Chevrolet des années 50).
Le chromage dur, une arme contre la corrosion et l’usure
Avec le chromage dur industriel, on passe dans une autre dimension. Oublié le simple aspect esthétique qui vise un jolie rendu, les pièces ainsi traitées rencontreront des conditions extrêmes qui nécessitent une véritable protection.
A la différence du chromage décoratif qui se contente d’une couche minimale, le chromage dur consiste à recouvrir chaque pièce d’une véritable couche de chrome qui minimisera l’usure de la pièce et permettra d’offrir une protection efficace contre la corrosion. On utilisera donc cette technique en particulier dans l’industrie mais aussi dans la plupart des branches de la mécanique où la résistance supplante l’esthétique.
Le chromage dur est par exemple utilisé pour recouvrir des segments de pistons, de vérins ou encore des systèmes complexes comme les trains d’atterrissage des avions qui nécessitent de pouvoir subir des conditions plutôt difficile. A ce propose, et pour en savoir plus sur les méthodes d’application et voir concrètement d’autres usages de chromage dur industriel, rendez-vous sur le site du spécialiste de la question, Verbrugge, en cliquant sur le lien suivant : www.verbrugge.fr
